« Entre RENAULT et Nissan, les malentendus se multiplient »
Au Japon, c’est le rapport de force qui détermine la légitimité et le droit, pas le fait d’être l’actionnaire principal. A force de l’oublier, le constructeur français a pris le risque de tuer l’alliance, explique Stéphane Lauer, éditorialiste au « Monde ».